La pandémie et les restrictions sanitaires imposées pour atténuer ses effets ont entraîné un changement dans la dynamique des relations de travail, avec une augmentation substantielle du travail à distance et la réflexion conséquente dans l'approbation progressive de normes pour sa réglementation.

Le dernier est le récent Loi 10/2021, du 9 juillet, relative au travail à distance, qui vient remplacer l'arrêté royal-loi 28/2020 et qui réglemente, entre autres aspects, le contenu et les modalités du contrat de travail à distance, au sein duquel se trouve la modalité de télétravail (définie légalement comme ce travail à distance qui est effectué par l'utilisation exclusive ou répandue de moyens et de systèmes informatiques, télématiques et de télécommunication).

Ainsi, le mode de travail à distance dépend de la volonté commune du travailleur et de l'entreprise, il ne peut donc être imposé par aucune des parties, et est configuré comme une annexe au contrat de travail préexistant dans votre cas.

Tant l'accord que toute modification ultérieure doivent être formalisés obligatoire par écrit et communiquer aux représentants des travailleurs et à l'Office de l'emploi. Concernant son contenu, il doit comprendre, au minimum, les éléments suivants :

  • Un Inventaire des moyens, équipements et outillages que nécessite le développement du télétravail concerté, y compris les consommables et éléments de mobilier, ainsi que la durée de vie utile ou durée maximale de leur renouvellement.
  • Dénombrement des dépenses que le travailleur peut avoir en raison du fait de fournir des services à distance et de leur forme de compensation.
  • Horaire travail du travailleur et en son sein, le cas échéant, des règles de disponibilité.
  • Pourcentage et distribution entre le travail en présentiel et le travail à distance, le cas échéant.
  • El centre de travail de l'entreprise à laquelle le télétravailleur est affecté et où, le cas échéant, la partie de la journée de travail sera effectuée en personne.
  • Durée de l'accord de télétravail.
  • Durée des délais de préavis pour l'exercice des situations de réversibilité, dans son cas.
  • Lieu de travail à distance choisi par le travailleur pour le développement du travail à distance.
  • Des moyens de contrôle commercial de l'activité.
  • Procédure à suivre en cas d'événement difficultés techniques qui entravent le développement normal du travail à distance
  • Instructions émises par l'entreprise, avec la participation de la représentation légale des travailleurs, en matière de protection des données et sécurité de l'information, spécifiquement applicable dans le travail à distance.

Enfin, il ne faut pas oublier que la non formalisation du contrat de travail à distance dans les termes et avec les exigences légales et conventionnellement prévues constitue un délit grave, avec pénalités de 626 € à 6.250 XNUMX €, en fonction de votre diplôme.

Si vous avez des questions sur le travail à distance, contactez notre bureau et nous vous conseillerons.